Ronsard emploie la structure classique des poèmes d’amour, mais « Sonnet à Marie » n’est pas une confession amoureuse dans un sens traditionnel. Avec un but et un style drastiquement diffèrent de Labé, malgré qu’elle ait aussi utilisé la forme de sonnet, Ronsard paraît contre les idéaux féministes. En réalité, « Sonnet à Marie » est une tentative mal famée de se coucher avec une jeune femme. Donc, Ronsard n’est pas amoureux de Marie mais il la désire à cause de sa beauté.
Travers au sonnet, le poète souligne la beauté de Marie, et l’importance de sa jeunesse féminine. Par exemple, il introduit un thème de la flore pour se comparer à la nature brève de sa beauté. Cependant, le huitième vers, « Et, comme fleurs, périront tout soudain », suggère que la jeunesse de Marie est comme le fleuri trop court d’un plante et qu’elle devrait s’accouple avec lui avant sa beauté est disparu. De plus, il donne un délai pour leur liaison en concentrant sur le temps. Ronsard écrit « En peu de temps » (7) et il répète le mot « temps » (9,10) plusieurs fois pour faire pression sur la femme. Donc, le lecteur peut supposer que l’intérêt de Ronsard à Marie est de toute façon physique et pas un amour pur.
La partie du poème que j’ai trouvé du plus mal goût est que traditionnellement, les fleurs représentent la virginité féminine. Alors, il semble que Ronsard veut prendre l’innocence d’une jeune femme vertueuse, et il est confident avec son but ! A mon avis, si Ronsard était vraiment amoureuse de Marie, il avait utilisé des métaphores plus sincères et originales.