23 mars 2011

ronsard : « sonnet à marie »

Ronsard emploie la structure classique des poèmes d’amour, mais « Sonnet à Marie » n’est pas une confession amoureuse dans un sens traditionnel. Avec un but et un style drastiquement diffèrent de Labé, malgré qu’elle ait aussi utilisé la forme de sonnet, Ronsard paraît contre les idéaux féministes. En réalité, « Sonnet à Marie » est une tentative mal famée de se coucher avec une jeune femme. Donc, Ronsard n’est pas amoureux de Marie mais il la désire à cause de sa beauté.

Travers au sonnet, le poète souligne la beauté de Marie, et l’importance de sa jeunesse féminine. Par exemple, il introduit un thème de la flore pour se comparer à la nature brève de sa beauté. Cependant, le huitième vers, « Et, comme fleurs, périront tout soudain », suggère que la jeunesse de Marie est comme le fleuri trop court d’un plante et qu’elle devrait s’accouple avec lui avant sa beauté est disparu. De plus, il donne un délai pour leur liaison en concentrant sur le temps. Ronsard écrit « En peu de temps » (7) et il répète le mot « temps » (9,10) plusieurs fois pour faire pression sur la femme. Donc, le lecteur peut supposer que l’intérêt de Ronsard à Marie est de toute façon physique et pas un amour pur.

La partie du poème que j’ai trouvé du plus mal goût est que traditionnellement, les fleurs représentent la virginité féminine. Alors, il semble que Ronsard veut prendre l’innocence d’une jeune femme vertueuse, et il est confident avec son but ! A mon avis, si Ronsard était vraiment amoureuse de Marie, il avait utilisé des métaphores plus sincères et originales.

15 février 2011

aragon : « chanson pour oublier dachau »

Ce poème, publié trois ans après la fin de la deuxième guerre mondiale, est une réponse profonde qui monte les sentiments humains face aux actions vraiment inhumaines. Malgré le thème du poème, d’oublier les atrocités qui se sont passés au camp de concentration en Allemagne ; la composition évoque les mémoires poignants et troublants vers le sujet. En fait, le poète suggère que les souvenirs sont trop horribles et « sauvage[s] » (vers 23) pour oublier. Aragon accomplit son but en utilisant une variété des mots et images bien-choisis.

Premièrement, le poète établit une humeur sinistre dès l'abord le poème en employant les mots liés avec le corps. Par exemple, il fait référence aux « poings », « hanches » et au « genou » (3,4) mais l’image du corps est pourrie par l’allusion au « gymnasiarque dément » (4). Il mentionne aussi « la fièvre » et « les tuberculeux » (6,7) pour illustrer des corps endommagés. Les corps qu’Aragon cite plusieurs fois, sont comparés aux « dormeurs » (1,10) qui monte le fait qu’ils sont morts. Alors, les « dormeurs » nombreux représentent le grand nombre de victimes des crimes Nazis, et le poète utilise le terme doux pour les humanisés.

En contraste, le poète suggère que les Nazis étaient inhumains à cause de «la torture » (37) qu’ils ont perpétrée. Le cadre est associé avec « l’ordure » (12), comme l’habitat d’une bête, et « l’enfer » (33) parce que Dachau était imprègne de la mort et la haine. Aragon fait référence aux « loups » (35) pour déshumanise plus les Nazis. En outre, il mentionne le « chasse » d’un « monstre » (22) qui compare les barbaries Nazies aux actions abominables.

Donc, grâce à son poème, Aragon monte l’impossibilité d’oublier tout les sauvageries qui s’est passé à Dachau. Ils ont cicatrisés trop l’histoire de l’humanité.

20 janvier 2011

« le silence de la mer » : une guerre « maisonale »

Le commencement de l’histoire introduit les trois personnages principaux: le narrateur, sa nièce et un officier allemand. Le silence de la mer se passe pendant la deuxième guerre mondiale dans une maison française où l’officier impose sa présence. Le narrateur, qui est propriétaire de la demeure, trouve la situation troublant à cause de sa position résolument contre la guerre et l’invasion de son pays par des ennemis. La nièce est aussi véhémente que son oncle opposé à l’hôte indésirable. Bien que le soldat soit toujours jovial et poli, le narrateur et sa nièce refusent de communiquer avec lui comme une sorte de résistance contre ce qu’il représente. Donc, un conflit silencieux imprègne le texte et crée une tension palpable entre tous les personnages.

Une séparation entre le deux côtés est évidente avec le soldat comme envahisseur et le narrateur et sa nièce comme victimes. Cependant, la dichotomie n’est pas si simple. L’Allemand croit honnêtement que la guerre va « unir, comme mari et femme, » (25) la France et l’Allemagne. Il est idéaliste et jeune, avec un désir sincère pour Par conséquent, le narrateur sent coupable pour ignorer le soldat naïf. La nièce, en contraste, abandonne sa féminité pour devenir « une statue » (25) sans aucun remords. Elle se comporte comme repousser par l’existence du soldat et elle même châtie son oncle pour son point faible contre la gentillesse du soldat. L’oncle inquiète qu’ils sont inhumaines « de lui refuser l’obole d’un seul mot » (25). Alors, les notions préconçues sont renversées. La nièce paraît peut-être trop sévère, et elle ne reste encore comme victime.