15 février 2011

aragon : « chanson pour oublier dachau »

Ce poème, publié trois ans après la fin de la deuxième guerre mondiale, est une réponse profonde qui monte les sentiments humains face aux actions vraiment inhumaines. Malgré le thème du poème, d’oublier les atrocités qui se sont passés au camp de concentration en Allemagne ; la composition évoque les mémoires poignants et troublants vers le sujet. En fait, le poète suggère que les souvenirs sont trop horribles et « sauvage[s] » (vers 23) pour oublier. Aragon accomplit son but en utilisant une variété des mots et images bien-choisis.

Premièrement, le poète établit une humeur sinistre dès l'abord le poème en employant les mots liés avec le corps. Par exemple, il fait référence aux « poings », « hanches » et au « genou » (3,4) mais l’image du corps est pourrie par l’allusion au « gymnasiarque dément » (4). Il mentionne aussi « la fièvre » et « les tuberculeux » (6,7) pour illustrer des corps endommagés. Les corps qu’Aragon cite plusieurs fois, sont comparés aux « dormeurs » (1,10) qui monte le fait qu’ils sont morts. Alors, les « dormeurs » nombreux représentent le grand nombre de victimes des crimes Nazis, et le poète utilise le terme doux pour les humanisés.

En contraste, le poète suggère que les Nazis étaient inhumains à cause de «la torture » (37) qu’ils ont perpétrée. Le cadre est associé avec « l’ordure » (12), comme l’habitat d’une bête, et « l’enfer » (33) parce que Dachau était imprègne de la mort et la haine. Aragon fait référence aux « loups » (35) pour déshumanise plus les Nazis. En outre, il mentionne le « chasse » d’un « monstre » (22) qui compare les barbaries Nazies aux actions abominables.

Donc, grâce à son poème, Aragon monte l’impossibilité d’oublier tout les sauvageries qui s’est passé à Dachau. Ils ont cicatrisés trop l’histoire de l’humanité.