Le commencement de l’histoire introduit les trois personnages principaux: le narrateur, sa nièce et un officier allemand. Le silence de la mer se passe pendant la deuxième guerre mondiale dans une maison française où l’officier impose sa présence. Le narrateur, qui est propriétaire de la demeure, trouve la situation troublant à cause de sa position résolument contre la guerre et l’invasion de son pays par des ennemis. La nièce est aussi véhémente que son oncle opposé à l’hôte indésirable. Bien que le soldat soit toujours jovial et poli, le narrateur et sa nièce refusent de communiquer avec lui comme une sorte de résistance contre ce qu’il représente. Donc, un conflit silencieux imprègne le texte et crée une tension palpable entre tous les personnages.
Une séparation entre le deux côtés est évidente avec le soldat comme envahisseur et le narrateur et sa nièce comme victimes. Cependant, la dichotomie n’est pas si simple. L’Allemand croit honnêtement que la guerre va « unir, comme mari et femme, » (25) la France et l’Allemagne. Il est idéaliste et jeune, avec un désir sincère pour Par conséquent, le narrateur sent coupable pour ignorer le soldat naïf. La nièce, en contraste, abandonne sa féminité pour devenir « une statue » (25) sans aucun remords. Elle se comporte comme repousser par l’existence du soldat et elle même châtie son oncle pour son point faible contre la gentillesse du soldat. L’oncle inquiète qu’ils sont inhumaines « de lui refuser l’obole d’un seul mot » (25). Alors, les notions préconçues sont renversées. La nièce paraît peut-être trop sévère, et elle ne reste encore comme victime.